Dans le téléphone de Margot Garabedian (Metz Triathlon)
Phone Select
L’application que tu utilises le plus ?
« Facebook et Instagram, je suis souvent sur les réseaux sociaux. Comme de nombreux jeunes de mon âge je pense. »
L’application Musique que tu utilises le plus ?
« Je n’écoute pas vraiment de musique via des applications type Spotify ou Deezer. Mais j’utilise beaucoup Shazam pour me faire ma playlist. »
Ton fond d’écran ?
« Je n’ai rien mis. C’est le réglage par défaut du téléphone. C’est bizarre non ? (rires). »
Le contact le plus célèbre ?
« Dans le petit monde du triathlon, on ne croise pas de célébrités. Dans mon sport, c’est Dorian Coninx (membre de l’équipe de France) avec qui je m’entraîne à Grenoble. »
La dernière photo ?
« Au réveillon du Nouvel An avec mes copines. »
L’application de sport que tu utilises le plus ?
« L’Équipe. Mais j’avoue ne pas y aller très souvent. Par manque de temps surtout. »
Le réveil du téléphone est à quelle heure ?
« Entre 5h30 et 6 heures. »
Le dernier appel ?
« A ma mère. J’appelle souvent ma famille mais je communique quand même plus par SMS. »
L’application que tu n’utilises jamais ?
« Les applications de jeux. Je ne joue jamais via mon téléphone. »
Ton téléphone, tu pourrais t’en passer ?
« Non. Je ne pourrais pas. Essentiellement pour communiquer et non pour le loisir. J’ai besoin de rester connecter avec mes proches. »
Au bout du fil
« Retrouver un niveau correct »
Souvent dauphine de sa nouvelle coéquipière Jeanne Lehair, Margot, 20 ans, était en contact depuis longtemps avec Metz. « Cela fait très longtemps effectivement, 7 ans environ. Bien avant que je pense à venir dans le club. J’ai connu Jeanne dans les compétitions chez les jeunes, dans les stages nationaux et en équipe de France. Je connais aussi très bien le coach, Jordan Rouyer, car ça fait un bout de temps qu’il est sur le circuit de triathlon. » Victime d’un grave accident à vélo il y a deux ans (fracture de la mâchoire, des deux coudes, de l’os temporal), Margot Garabedian veut aussi retrouver « un niveau correct, car ce fut difficile de se remettre dedans. J’ai hâte de retrouver toutes mes sensations ». Passée chez les séniors cette année, Margot Garabedian a dû s’adapter à un nouveau monde, loin de celui des juniors. « C’est un peu difficile de passer d’une catégorie à une autre. Car entre les juniors et les seniors, il y a un vrai fossé. Il y a plus de densité, c’est plus relevé, et les transitions sont plus difficiles. Je découvre un autre monde. Il faut que je parvienne à m’adapter aux nouvelles conditions de compétition. Cela change complètement d’état d’esprit des juniors aux seniors. Je suis passée de courses où j’étais régulièrement placée, souvent sur le podium, à des courses où je dois me battre pour la 25e, la 30e place de temps en temps. Il faut réussir à garder confiance. » Cela profitera à tout le monde.
Photos : DR - Article publié le 27 février 2017