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Les nouvelles Dragonnes entrent en scène

Avec les départs d’Yvette Broch, Kristina Liscevic, Lara Gonzalez Ortega, Déborah Kpodar ou Gervaise Pierson, Metz Handball a procédé à un grand chamboulement de son effectif cet été. Le président Weizman n’a d’ailleurs pas attendu pour dégainer ses premières recrues. Moselle Sport fait les présentations.

Alice Lévêque, la relève

Les raisons de sa venue : « C’est un club qui joue le haut de tableau depuis de très nombreuses années et qu’on ne présente plus. Metz a gagné de nombreux titres de champion de France et c’est l’une des raisons qui m’a fait accepter la proposition du club. Le fait de pouvoir jouer une compétition européenne est aussi une garantie de jouer des matchs de haut niveau toute la saison. »

Son projet sportif : « J’ai réfléchi, forcément, quand Metz m’a appelé pour me proposer de venir en Moselle. J’ai pesé le pour et le contre et au vu de mon projet sportif, c’est une bonne chose pour moi de signer à Metz. Je souhaite continuer à porter le maillot bleu de l’équipe de France et je sais que je devrais être à mon top pour y parvenir et que porter le maillot de Metz n’est pas une garantie. »

Ce que représente Metz : « C’est sûrement le club le mieux structuré de France avec des infrastructures au top et un public fidèle. Ce club véhicule une belle image depuis plus d’une dizaine d’années et je ne mets pas la pression pour porter ce maillot. Si j’avais la pression, autant que je ne vienne pas et que je reste à Mios. »

Sladjana Pop-Lazic, la surprise

Les raisons de sa venue : « On ne peut pas refuser une offre de ce club. Je suis quand même en Division 2 avec Besançon et c’est donc surprenant de recevoir un coup de téléphone du meilleur club de France. Je n’ai pas hésité une seconde pour dire oui. J’espère pouvoir apporter beaucoup à ce club. »

Son projet sportif : « Je n’ai pas hésité une seconde quand on m’a proposé de venir à Metz Handball. J’étais très surprise de cet appel puisque je ne pensais pas que ce club pouvait attirer des joueuses de Division 2. J’ai été très contente d’avoir cet appel et j’ai hâte de commencer à m’entraîner cet été. »

Ce que représente Metz : « Bien que je joue en D2 cette année avec Besançon, je suis beaucoup le championnat de France et donc Metz. Tout le monde connaît ce club en France mais aussi en Europe. C’est la référence du genre en France et Metz arrive toujours à bien se placer en championnat de France et gagne souvent le titre de champion de France. »

Xenia Smits, la touche allemande

Les raisons de sa venue : « J’avais envie de découvrir le championnat de France car c’est une compétition relevée et compliquée, plus difficile qu’en Allemagne, selon moi. J’aime aussi ce pays et j’avais envie de me perfectionner en français (rires). Jouer le titre chaque année et participer à la Coupe d’Europe ont été des éléments importants dans ma décision de venir. »

Son projet sportif : « Je suis jeune et j’ai encore beaucoup de choses à apprendre. Je viens à Metz pour les aider mais aussi pour progresser aux côtés de grandes joueuses, qui sont presque toutes internationales. Je vais tout donner. »

Ce que représente Metz : « Un grand club européen qui a fait un beau parcours en Ligue des Champions. J’aime la France et j’ai eu des contacts très sympathiques avec les personnes qui m’ont contacté pour venir. Je vais vite me sentir chez moi (sourire). »

« Cap’tain » Marion Maubon

Les raisons de sa venue : « Déjà, car je n’ai jamais quitté ma région et j’avais envie d’aller voir ailleurs (sourire). Le coup de téléphone de Metz Handball est tombé au meilleur des moments et qui mieux que Metz pour tenter une nouvelle aventure ? C’était aussi l’occasion de me mettre un peu en danger et de bousculer le confort dans lequel je m’étais installée à l’USMB. Je n’ai pas hésité très longtemps… »

Son projet sportif : « J’ai toujours pris les choses les unes après les autres et pour le moment, cela me réussit plutôt bien. Mon objectif est de faire des performances, de gagner des titres et si, un jour, l’équipe de France se présente, je serai très heureuse, mais encore faut-il le mériter. On est forcément scruté quand on joue à Metz et je vais continuer de travailler pour arriver au plus haut. »

Ce que représente Metz : « C’est une équipe que je n’ai jamais battu (rires) depuis que j’ai rejoint l’élite, en 2007. Un rouleau compresseur qui détruit tout sur son passage. Et j’espère enfin battre des équipes que je n’ai jamais réussi à vaincre avec mon club sous les couleurs de Metz. »

A suivre : Camille Aoustin et Marina Rajcic

Photos : DR - Article publié le 25 juillet 2015

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