
Pourquoi le FC Metz ne peut pas perdre contre l’ASNL
– Car 80% de l’effectif messin ne sait même pas où se trouve Nancy donc pas de pression inutile…
– La dernière victoire de Nancy à Metz date d’octobre 1998. Et à cette époque, Robert Pirès était un minot et pas un consultant de beIN SPORT avec des cheveux blancs comme mèche « beau gosse ». Un bail donc.
– Quand tu tapes sur Google « La Lorraine est », la proposition est « grenat ». CQFD
– Nancy n’a plus marqué à Saint-Symphorien depuis 15 ans et 5 confrontations. Tony Cascarino se retourne dans sa bière.
– Yeni Ngbakoto est là. Il avait marqué à l’aller du derby 2013-2014 et était décisif, au retour, sur le but de Diafra Sakho. Donc messieurs les Nancéiens, c’est mort.
– A Nancy, il y a Hadji, Chrétien et bientôt Diakhaté. Metz n’a pas besoin de rappeler Babacar Gueye, Laurent Agouazi et Jeff Strasser pour essayer de gagner.
– A Nancy, ils ont un attaquant qui ne marque pas, Maurice Dale. Bon à Metz, il y a Amido Baldé. On oublie.
– Il y a deux ans, même Kwame Nsor avait marqué. C’est dire la marge du FC Metz aujourd’hui…
– C’est un peu comme si Habib Diallo marquait des buts en Ligue 2. C’te blague.
– Parce que la devise de l’ASNL, c’est « Qui s’y frotte, s’y pique ». Devise associée au porc-épic. Euh, quelqu’un m’arrête ou je continue. On parle d’un porc-épic !!!! Laissez tomber…
– Car Metz peut compter sur son lot de pénalty habituel. Et peut même se permettre de les louper. Si si. Ils peuvent. Le grand luxe.
– Car le public sera à fond derrière le siens. Et ça, c’est le fameux 12e homme…
Photos : DR - Article publié le 18 septembre 2015