Côté décalé : Voici les solutions pour le maintien en L1 !
– Recruter Robert Pirès et le faire jouer dans le rond central, façon Carlos Valderrama avec la Colombie. Contrôle-passe, contrôle-passe, repos, contrôle raté, repos… et lui mettre deux joueurs à 5 poumons autour de lui pour faire le boulot défensif.
– Et demander à Romain Rocchi de lui laisser le numéro 7. Juste pour le kif et la vente des maillots qui permettrait sûrement de lui payer son salaire jusque juin. Parce que Pirès avec le 31 dans le dos, ça ferait tache.
– Nommer Bernard Zénier responsable des attaquants du FC Metz. Car on a beau se foutre de lui en lui rabâchant qu’il est le meilleur buteur du championnat de Ligue 1 avec le plus petit nombre de buts marqués sur une saison, lui, au moins, il en avait mis 18 en 1987. Et ça fait un bail qu’on n’a pas vu ça ici…
– On a mal joué le coup en début de saison. En forçant Evian à prendre Moussa Gueye en prêt, Caen à prendre Alhassane Keita et Reims à prendre Ali Bamba, on serait forcément devant eux. CQFD.
– Placer N’Daw en attaque pour dévier les ballons sur Modibo Maïga. Déjà, ça l’empêchera de prendre un carton jaune par match en découpant un joueur adverse pour essayer de récupérer le ballon, et ensuite, ça occupera Maïga qui, esseulé bien souvent en pointe, a demandé l’autorisation de prendre son téléphone sur le terrain pour jouer à Candy Crush.
– Titulariser Vincent Thill, la nouvelle pépite luxembourgeoise du centre de formation âgé de 15 ans, au milieu de terrain. Les adversaires penseront que c’est un ramasseur de balle et le laisseront libre de tout marquage. Et biiiiiim.
– Titulariser Albert Cartier aux côtés de José Luis Palomino. Avec sa grinta et sa forme physique qui feraient pâlir plus d’un mec de son âge, il pourra apporter sa sagesse aux jeunes Bussmann et Métanire. Et quand un joueur prendra Cartier de vitesse, Palomino sortira la moissonneuse-batteuse.
– Arrêter de dorloter la pelouse de Saint-Symphorien et ruiner le terrain à coup de taupes et de tacles glissés de Gaëtan Bussmann. Un bon champ de patate qui empêchera Pastore de faire ses roulettes, Lacazette ses frappes et Beauvue ses acrobaties. Les Messins seront plus à l’aise et prendront des points.
– Demander à l’internationale brésilienne du FC Metz/Algrange, Simone Gomes Jatoba, de créer une célébration après chaque but messin. Même si c’est très compliqué, on s’en fout, on ne marque pas très souvent de toute façon. Un truc revival d’Isaïas et de sa chenille porte-bonheur.
– Passer un coup de téléphone à Nasser Al-Khelaïfi pour qu’il diffuse plus souvent le FC Metz en prime-time le vendredi soir sur beIN SPORT. Avec Di Meco aux commentaires, les défenseurs messins se sauront surveillé et voudront rendre hommage à l’ancien charcutier de l’Olympique de Marseille. #Fightingspirit
– Je voulais faire une vanne sur un échange entre les Carrasso, ni vu ni connu, même tronche sur la licence, mais non. Je ne peux sortir de vacherie sur Johann Carrasso. Il tient vraiment bien la baraque cette année.
– Éviter de sortir des slogans trop optimistes comme #NousSommesPrêts juste avant de prendre une leçon de football par Guingamp. Pour éviter les moqueries par exemple.
– Faire un truc plus modeste : #OnVaEssayerEtCestDejaPasMal.
Ceci est un article parodique ayant pour vocation de parler de façon légère d’un sujet. Et non une volonté gratuite de se moquer de qui que ce soit.
Photos : DR - Article publié le 25 février 2015